J’apporte ce témoignage pour mon père, âgé de 78 ans, retraité artisan dépanneur TV. Tous les éléments médicaux sont indiqués ci-dessous avec son accord.
Une pathologie arthrosique a été découverte pour la première fois en 1988, suite à un épisode douloureux intense ayant nécessité un bilan radiographique. En 2003, des radiographies ont de nouveau été réalisées et ont montré :
« - Lombodiscarthrose étagée à prédominance L3/L4, L4/L5 et L5/S1 avec pincement global des espaces, dégénérescence discale et ostéophytose exubérante.
- Surcharge des articulaires postérieures.
- Arthrose dorsale basse. »
En résumé, son dos, c’est un peu Verdun et ce type de pathologie étant évolutive dans le temps, on note rarement une diminution des douleurs, bien au contraire.
En novembre 2007, il a commencé à présenter des douleurs diurnes et nocturnes, l’empêchant de se déplacer, de rester debout ou assis dans la même position de façon prolongée, ou même de dormir correctement. On lui a donc prescrit un énième lombostat (corset en plâtre ou en résine maintenant). Après ablation de la résine, ses douleurs ont été soulagées pendant quelques semaines, jusqu’à ce qu’elles reviennent progressivement.
A partir du mois d’octobre 2008, ses nuits étaient perturbées à un point tel que quelle que soit sa position dans le lit, les douleurs l’empêchaient de trouver le sommeil et il parvenait enfin à s’endormir vers 4 ou 5 h 00 du matin… pour se réveiller à 7 h 00, toujours avec ces douleurs irradiant dans la jambe gauche.
Mon père consomme de l’Aloe Vera Life essence miel, trois fois 30 ml par jour, avant les repas, depuis décembre 2008 soit depuis 4 mois maintenant. Au début, il appliquait également du Concentrate matin et soir sur la région lombaire, en massages modérément appuyés, en gardant la main relativement légère car zone très sensible. Progressivement les douleurs se sont atténuées et il a retrouvé un sommeil profond, réparateur et surtout sans aucune douleur. Il arrive de nouveau à sortir pour aller faire les courses à pieds, aller au centre ville également à pieds (3 km aller-retour), passer la tondeuse, faire la cuisine, la vaisselle, le ménage etc… Je ne l’entends plus pousser des gémissements de douleurs à chaque fois qu’il se penche pour ramasser quelque chose par terre. Il se tient également plus droit et il a bien meilleure mine.
Il n’est pas encore au point de pouvoir galoper comme un lapin et d’aller se balader le long des sentiers côtiers avec ses filles, mais tel qu’il est parti, ça ne sera plus bien long ! C’est son objectif pour le mois d’août prochain en tout cas, avec à la clé, pique-nique sur la plage. Hé, ne dit-on pas « Après l'effort, le réconfort» ?
